Duncan Travon

« UN CERTAIN MATIN, DANS UNE CERTAINE MAISON »

Un cri ! Puis rien ! Ca recommence ! Aie ! Plus rien ! Et on est repartit !
Puis le silence absolu, un soulagement. Un sourire, une caresse, un rire, une goutte. Et oui, c'est ce qu'on fait dans de tel moment. Et pourtant, la seule chose qui serait bien, c'est qu'il soit là, devant eux. Et c'est certainement une chose qui n'arrivera plus. Plus jamais.

Alors que la nuit tombée sur Londres, une jeune femme, la vingtaine, préparée un bon repas. Tout aller pour le mieux. Et pourant, rien n'était à prévoir. Dommage. Les secours n'étaient pas arrivés à temps. Il était là, à quelques kilomètres de sa femme, sur le chaussée de la route, immobile, yeux fermés, ruisselant de sang. Mort. Voilà ce qu'elle sut quand on lui appris que son mari était décédé dans... d'attroces et d'étranges souffrances. Un point. Un simple point au coeur. Comme un éclair et un homme piquait à vif. Saleté de mangemorts ! Vous allez payer !
Mais bon, ce sori là, c'était une chose bien dommage. Le père s'était fait tué par un mangemort alors qu'il revenait chez lui. Et quand la future-mère appris cela, son petit coeur fit un bon énorme. De la tristesse. Oui voilà. Trop de larmes. Non, il est mort. Non. Et pourtant. Des larmes et des centaines de larmes sur cete épaule d'infirmier. Et de plus grosses larmes. Tristesse encore et encore. Non. C'est le moment. Pas maintenant. Non. Cependant, un seul mot lui vint à la bouche « il arrive ! ».

Dans ses larmes se mélaient tristesse et joie. Son mari. Son fils. Elle criait sur cette table d'opération. Pourquoi ses deux opposés doivent t'ils venir maintenant, hein ? Non. Pitié. Mais si, il est temps de garder la peine de côté et de montrer tant de force dans ce moment là. Il fallait forcé. Forcé plus fort. Des souvenirs arrivèrent alors. Le mariage fut la premiere chose mise en avant. Rooh, il était si beau. Dans son costume. Puis il eut un rebond plus intense pour arriver aux fillancailles. Et ses larmes de joie qui ne cessaient de ruisseler sur cette joue sans défence.

Des yeux verts, un visage fin, des cheveux bruns, le sosie de son père. Il était là, dans les bras de sa mère, pleurant ses fines larmes de nouveau-né. Voilà, il pleurait, et elle souriait. Puis, le silence revint. Et elle posa un doux baiser sur son front d'enfant.

« UNE JOIE DE VIVRE UN NOUVEAU DESIR »

Un sourire. Voilà ce qui vint se figer pour une terreur de stress. Et pourtant, Duncan était là, debout. Il parlait longuement à sa mère, écoutant tous ses conseils. Et les seuls réponses du garçon fut des « oui » très brefs. Il allait être en retard.
Maintenant auror, il venait d'apprendre par le biais du Ministère qu'il avait été nommé comme nouveau professeur de Défence Contre les Forces du Mal. Et oui, c'était son rêve depuis tout petit. Et pour finir, il était officiellement le nouveau Directeur de la maison Serdaigle, maison dont il a fait partit durant sa scolarité à Poudlard.

Le train hurla. Il embrassa alors sa mère et monta dans le Poudlard-Express. Voilà, les roues commençaient à tournoyer sur les raies de fer gelé alors que Duncan marchait lentement dans un couloir pour trouver une cabine bien pratique, vide si possible. Il en trouva une, après une longue marche. Il prit place dans la cabine et acheta un chocolat un peu spécial à une femme plus âgée qui passait par là avec un grand chariot remplit de confiserie. Mais, la blague avait assez duré et Duncan recracha immédiatement le bonbon.

Horreur, crotte de nez !

Il se retrouva alors devant une tâche bien visible sur la banquette devant lui. Oups. Il l'enleva d'un simple geste de baguette avant de fermer délicatement les yeux.

Voilà. Le stress est de retour. Du bruit. Du peuple. Des coupes. Il se trouvait dans une petite salle, derriere la Grande Salle, admirant ses nombreuses coupes de Quidditch gagneaient. Il sourit. Il allait enseigné dans cette école. Cette école si belle et si studieuse. Parfait. C'est alors qu'il entendit une voix les appelant pour prendre place pour le repas.
Arrivé à la Grande Salle, il tira une chaise et prit place dessus. Puis les présentations commençèrent. Il entendit enfin son nom et se leva. Voilà. Professeur et Directeur à la fois. Il sourit.

Le rêve était réalisé. Auror, Professeur et Directeur. Conscience en paix, il mangea et savoura ce repas de grande luxe.

Coucou Monsieur le Professeur ^^

Faudrait que tu relises bien ta fiche parce que y'a quand même des fautes importantes =/
Tu te trompes vraiment sur les verbes... Tu dis trompé au lieu de trompait :S
Mais bon un passage sous word et une bonne relecture devraient venir à bout de tes petites fautes ^^

J'adore ce que tu a écrit, mais tu ne parle pas de ses études à Poudlard dans ton histoire et je trouve ça un peu dommage. Quoi que je ne suis que modératrice, et même pas de cette section, alors, mon avis est pas tellement important.
Ce n'étais qu'une remarque. siffle