Aloysia McEnric (pas encore finit ^^')

... Ca y était elle allait enfin détenir les plus grands secrets de la divination, elle allait enfin comprendre la signification de chacun de ses rêves, savoir que faire pour devenir une vraie parabole à visions, saisir les plus petites subtilitées de la positions des planètes et enfin lire l'avenir dans n'importe quel objet ou animal. Bon pour les animaux Aloysia éviterait peut-être de trop lire dans leurs entrailles, faire sacrifier des pauvres petits rongeurs pour pouvoir si ferait beau la semaine suivante ça faisait peut-être un peu trop préhistoire. Vous semblez vous demandander comment cette jeune fille à trouver le moyen d'apprendre tant de chose ? Mais la réponse est évidente voyns ! Depuis qu'elle était à Poudlard Aloysia le savait, un jour les centaures viendrait la voir, l'emporteraient dans la forêt interdite et lui dirait qu'elle est l'élue : la sorcière à qui ils apprendront tout leur savoir, car oui elle seule le méritait, elle seule avait les capacités de bien utiliser ce terrible pouvoir. Bon il était vrai qu'elle ne savait pas comment elle était arrivée au beau millieu de la forêt interdite en pleine nuit, ni pourquoi elle n'avait pas froid alors qu'on était sensé être en plein hiver, ni même d'ou venait cette magnifique robe qui la mettait tant en valeur et qu'elle n'avait jamais vu de sa vie mais sans savoir vraiment pourquoi Aloysia repoussait ces questions au plus profond de son petit cerveau.
Enfin qu'importait elle allait enfin pouvoir s'atteler à ce qu'elle avait toujours voulut faire depuis qu'elle était toute petite : sauver le monde ! Oui Aloysia était une jeune fille plutot humble, si elle arrivait à rendre chaque personne vivant sur terre heureuse pour le reste de leur vie alors il lui aurait semblé que sa vie aurait réussit à quelque chose. Soudain un centaure arriva au galop l'air effrayé, d'ailleurs le son que produisait ses sabots en frappant le sol était étranges, il n'étaient pas en rythme et puis étrangement aigus pour un bruit de sabot, elle regarda les autres centaures autour d'elle d'un air interrogatif mais il semblèrent légèrement inquiets et lui faire signe de ne pas y faire attention, cependant le son continuait alors que le centaure avait arrêté de courir, puis une voix féminine l'air extremement couroucée l'appella plusieurs fois : Alix ! Alix ! ALIX !
Aloysia se demanda si c'était un esprit de la forêt qu'elle et les centaures auraient réveillé et qui voulait se venger. Mais comment connaissait-elle son surnom ? Soudain une force invisible lui empoigna l'épaule et la secoua durement, Aloysia ouvrit les yeux ... et se retrouva dans sa chambre de Poudlard avec une de ses colocataires penchée sur elle, les yeux bouffis, la tignasse complètement emmêlée et lui hurlant des paroles incompréhensible. Alix lui lança un joyeux :
Dit donc t'es toujours pas du matin toi ! Tu verrais ta tête j'ai faillit faire une crise cardiaque ...

Puis elle se leva prestement et se dirigea immédiatement vers la commode en face de son lit qui contenait ses affaires, tout cela en se mettant à déclamer au et fort :
Pauvre de moi ! Dire que là-bas la gloire m'attendait les bras grands ouverts, le monde avait besoin de moi ! Et il a fallut que vous, pauvres mortelles naïves et inconscientes vous me chassiez de ce lieu pour me faire revenir ici bas, lieu de débauche, de vice, de trahison et que sais-je encore ? Je sens mon coeur défaillir de désespoir ! Pour la peine je vais ...

- Avant que tu fasse quoi que ce soit tu vas ouvrir la fenêtre à cet oiseau de maheur qui frappe au carreau depuis une demi-heure et tu vas prendre la bouse de troll qu'il t'amène !

Aloysia hésita un instant mais voyant l'air furibard de sa deuxième colocataire, elle haussa les épaules et changea de cap pour aller ouvrir au pauvre volatile et le décharger de son imposant coli. Elle pris quelques graines dans le paquet posé à cet effet sur le rebord de la fenêtre et murmura à l'adresse de l'oiseau :

- Dit donc le piaf la prochaine fois tu pourrais pas taper sur le carreau en faisant des sons plus graves, parce que franchement ton immitation du centaure au galop était très mauvaise, j'ai faillit me réveiller avant que la miss là-bas me réveille et tu sais combien ça lui fait plaisir de me réveiller toutes le ssemaines quand tu passe m'apporter mes provisions !

Ledit piaf poussa un cri qu'Aloysia prit pour une excuse, elle lui donna alors et les graines et sortit une enveloppe froissée de sa poche de pyjama puis tout en l'attanchant à sa patte elle continua son monologue :

- Non mais tu les entend raler ? "Je ne peux plus la supporter si ça continue je vais demander à ce qu'elle change de chambre", " Et puis ces lubies sur la divination ... comme si elle avait vraiment des visions ... n'importe quoi !" "Et puis ça mère qui lui envoie des colis bizzares toutes les semaines, comme si elle était vraiment voyante sa mère ! Moi de toute façon je n'y crois pas à la divination" "Moi si j'y crois ... je t'ai déjà raconté cette histoire avec ma mère qui était allée voir la mère d'Aloysia quand j'avais six ans ..."

A cette dernière phrase Aloysia explosa de rire, elle n'y pouvait rien se souvenir était bien trop drôle et puis de toute façon ces colocataires la prenaient pour une folle depuis maintenant plus de trois ans alors un peu plus un peu moins ... Rire toute seule n'était pas la pire chose qu'elle ai fait. Mais revennons à ce souvenir, en effet la mère d'Alix était une voyante d'une grande renommée (en tout cas jusqu'a ce que la divination soit retiré des matières enseignées à Poudlard. Alors qu'Aloysia avait six ans une dame était venue chez elle avec sa fille de son âge, cette dame était simplement venue se faire tirer les cartes, la mère d'Aloysia avait alors sortit son baratin habituel et avait conclu par : "très prochainement un évènement va vous changer radicalement !" En effet quelques secondes plus tard, le temps en fait qu'Aloysia veuille de toute ses forces que sa mère ai raison et qu'elle se rende compte que cette dame ressemblait fort à une truie, la cliente se retrouva affublée d'une tête de truie et a pousser des hurlements stridents. C'est ainsi que les parents d'Alix eurent la certitude que leur fille n'était pas une carcmolle.